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Exercices de finances publiques S4 - Économie et gestion - faculté économie et gestion

Présentation

Les étudiants de faculté économie et gestion filière économie et gestion vont étudier au semestre 4 six modules parmi les, finances publiques , alors pour fixer les conissances de module finances publiques et pour préparer au jour d'examen vous allez trouver ci-dessous des exercices QCM de finances publiques S4, pour plus des exercices de semestre 4 filière économie et gestion voir le menu de site web ou tapez le sur la barre de recherche...

Exercices de finances publiques

Série n°1

Q1. Fait partie de la procédure d’exécution de la dépense :
a- La débudgétisation.
b- La liquidation.
c- L’engagement.
d- Le mandatement. 
Q2.  Le budget général de l’Etat contient :
a- Les comptes spéciaux de trésor.
b- Les SEGMA.
c- Les dépenses de fonctionnement.
d- Les dépenses d’investissement.
Q3. Le déficit primaire désigne :
a- Un solde primaire négatif.
b- Un déficit hors remboursement des intérêts de la dette.
c- Le déficit structurel.
d- Le déficit conjoncturel.
Q4. Pour la dette publique marocaine, il s’agit :
a- D’un flux de plus de 80% du PIB.
b- D’un stock de plus de 80% du PIB.
c- D’une dette brute.
d- Essentiellement d’une dette a composante externe.
Q5. Si la dette publique est nulle :
a- Le service de la dette =0
b- La charge de la dette =0
c- Le solde budgétaire = le solde primaire.
d- Le solde budgétaire > le solde primaire.
Q6. Le taux d’endettement dépend :
a- Du montant de la dette de l’année antérieure.
b- Du taux d’intérêt (r) auquel l’Etat emprunte.
c- Du déficit ou excédent primaire réalisé par le pays au cours de l’année (SB).
d- Aucune réponse.
Q7. Un pays est endetté à hauteur de 100 milliards d’euros avec un taux fixe de 2%. Pour l’année t il a eu un déficit budgétaire primaire de 1 Milliard d’euro. Sa dette en fin d’année sera de :
a- 101milliards d’euros.
b- 102 milliards d’euro
c- 103 milliards d’euros.
d- Aucune réponse.
Q8. En comptabilité de gestion :
a- Il s’agit d’une logique de droits constatés.
b- Les recettes sont imputées à la loi de finances qui les a autorisées.
c- Les recettes et les dépenses sont imputées à la loi de finance de l’année au cours de laquelle ont été exécutées.
d- Il s’agit d’une logique  de caisse.
Q9. Dans les finances publiques la règle de « la non affectation des ressources » :
a- Se traduit par le financement de l’ensemble des dépenses par l’ensemble des recettes.
b- Se traduit par la règle de l’unité de caisse.
c- N’est pas respectée dans le cas des fonds de concours.
d- N’est pas respectée dans le cas des comptes d’affectations spéciales.
Q10. Les comptes spéciaux de trésor :
a- Retracent les dépenses et les recettes de l’Etat entre lesquelles existe u      un lien.
b-  Est une exception au principe de  non affectation des ressources 
c-   Ont toujours un solde débiteur.
d-  Ont toujours un solde créditeur.
Q11. La diminution des dépenses de fonctionnement en 2017 est due à :
a- Une diminution des charges communes de fonctionnement.
b- Une diminution des dépenses de personnels.
c- Une diminution des dépenses imprévues.
d- Une diminution des dépenses de matériels et dépenses diverses.

Série n°2 

Q1. La politique économique a pour fonctions principales :
a- S’approcher le minimum possible du plein emploi.
b- La stabilisation microéconomique face à des chocs exogènes qui éloigne l’économie de l’équilibre.
c- La stabilisation macroéconomique face à des chocs exogènes qui éloigne l’économie de l’équilibre.
d- La redistribution des revenus entre agents et entre régions.
Q2.  Les dépenses de fonctionnement comprennent :
a- Les comptes spéciaux de trésor.
b- Les charges communes de fonctionnement.
c- Les dépenses de personnels.
d- Les dépenses d’investissement.
Q3.  Le déficit primaire désigne :
a- Un solde secondaire négatif.
b- Un déficit hors remboursement des intérêts de la dette.
c- Un déficit structurel.
d- Un déficit conjoncturel.
Q4. Cochez les composantes de la dette publiques marocaines
a- La dette intérieure du trésor public.
b- La dette extérieure d trésor public.
c- La dette des entreprises publiques.
d- La dette des entreprises privées non garanties par l’Etat.
Q5. Pour la dette publique marocaine, il s’agit :
a- D’un stock de plus de 80% du PIB.
b- D’un  flux de plus de 80% du PIB.
c- D’une dette brute.
d- Essentiellement d’une dette a composante interne.
Q6. Si la dette publique est nulle :
a- Le service de la dette =0
b- La charge de la dette =0
c- Le solde budgétaire > le solde primaire.
d- Le solde budgétaire = le solde primaire.
Q7. Le taux d’endettement dépend :
a- Du montant de la dette de l’année suivante.
b- Du taux d’intérêt auquel l’Etat emprunte.
c- Du solde primaire réalisé par le pays au cours de l’année.
d- Aucune réponse n’est juste.
Q8. Un pays est endetté à hauteur de 100 milliards de dollars avec un taux fixe de 2%. Pour l’année t il a eu un déficit budgétaire primaire de 1 Milliard de dollars. Sa dette en fin d’année sera de :
a- 101milliards d’euros.
b- 102 milliards d’euro.
c- 103 milliards d’euros.
d- Aucune réponse n’est juste.
Q9.  Cochez à chaque affirmation vraie :
a- Le ratio d’endettement =  le déficit public  / PIB.
b- Le ratio d’endettement = le déficit budgétaire / PIB.
c- Le ratio d’endettement = la dette publique / PIB
d- La dette flottante concerne les emprunts contractés pour le court terme.
Q10. Les modes de comptabilisation des opérations budgétaires sont :
a- La comptabilité nationale.
b- La comptabilité de gestion.
c- La comptabilité des droits constatés.
d- La comptabilité budgétaire.
Q11. La finance fonctionnelle :
a- Élimine toute référence à l’équilibre budgétaire.
b-Stipule que le solde budgétaire doit être fixé pour que l’équilibre offre-demande s’établisse en plein emploi.
c- Est une conception keynésienne des finances publiques.
d- Est une conception monétariste des finances publique.
Q12. La caisse de compensation verse des subventions à :
a- La filière sucrière.
b- La filière de la farine de blé tendre.
c- La filière pétrolière.
d- La filière butane.
Q13. Dans les finances publiques la règle de « la non affectation des ressources » :
a- Se traduit par le financement d’une partie des dépenses par une partie des recettes.
b- Se traduit par la règle de l’unité de caisse.
c- Est pas respectée dans le cas des fonds de concours.
d- N’est pas respectée dans le cas des comptes d’affectations spéciales.
Q14. Les comptes spéciaux de trésor :
a- Retracent les dépenses et les recettes de l’Etat entre lesquelles existe un lien.
b- Est une dérogation au principe de  non affectation des ressources.
c- Ont occasionnellement un solde débiteur.
d-  Ont constamment un solde créditeur.
Q15. Cochez les comptes appartenant aux comptes spéciaux de trésor :
a- Les charges communes de fonctionnement.
b- Le compte de financement.
c- Les charges d’amortissement de la dette.
d- Les comptes d’affectation spéciale.. 
Q17. Cochez les recettes fiscales de l’Etat :
a- Les droits d’enregistrement et de timbre.
b- Les produits de monopoles.
c- Les revenus de domaines.
d- Les droits de douanes.
Q18. La relance budgétaire a un effet positif sur la croissance (ΔPIB) lorsque :
a- Si pour 1 de revenu injecté, on obtient -0,5 de revenus générés.
b- Si pour 1 de revenu injecté, on obtient 1 de revenu généré.
c- Si pour 1 revenu injecté, on obtient 0,93 de revenus générés.
d- Si pour 1 revenu injecté, on obtient 5 de revenus générés.
Q20. Parmi les contraintes qui affectent négativement une relance budgétaire :
a- La fuite par les importations dans des économies de plus en plus ouvertes.
b- Le recours au protectionnisme déguisé.
c- Un effet d’éviction de la demande publique par la demande privée.
d- Un effet d’éviction de la demande publique par la demande privée.
Q21. Dans une économie ouverte :
a- L’effet multiplicateur devient : K= 1 / 1+c-m.
b- L’effet multiplicateur devient : K= 1 / s-m
c- Plus la propension marginale à importer est grande plus la relance budgétaire est moins efficace.
d- Plus la propension marginale à consommer est grande plus la relance budgétaire est moins efficace.
Q.22  Le multiplicateur des transferts publics :
a- Agit de la même façon que celui des dépenses publiques, mais au sens inverse.
b- Agit de la même façon que celui des impôts.
c- Agit de la même façon que celui des impôts, mais au sens inverse.
d- Agit de la même façon que celui des dépenses publiques.
Q23.  L’effet d’une baisse des impôts sur le PIB est :
a- Égale à une augmentation équivalente des dépenses publiques.
b- Supérieur à une augmentation équivalente des dépenses publiques.
c- Inférieur à une augmentation équivalente des dépenses publiques.
d- Aucune réponse n’est juste.
Q24. Une parfaite mobilité des capitaux avec un taux de change flexible rendent :
a- La politique budgétaire plus efficace.
b- La politique budgétaire moins efficace.
c- Les industries exportatrices plus compétitives.
d-Aucune réponse n’est juste.
Q25. Cochez à chaque affirmation vraie :
a- Le montant de la taxe est proportionnel au service rendu.
b- Seuls les usagers paient la taxe.
c- La dette amortissable concerne les emprunts contractés pour le court terme.    
d. Aucune réponse

Support de module finances publiques S4

  1. Cours de finances publiques S4
  2. Résumé de finances publiques S4
  3. Examens de finances publiques S4
  4. QCM de finances publiques S4

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