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Examen d'économie monétaire et financière 2 (S2) avec corrigé - économie et gestion


Enoncé d'examens 

Ci-dessous vous allez trouver des examens d'économie monétaire (QCM) sous forme de QCM et des examens sous former des exercices et questionnes directs.

Examen n°1

1. Les actions sont :
A. Des valeurs mobilières représentant une créance envers l'organisme émetteur
B. Des titres représentatifs d'une créance envers l'entreprise émettrice
C. Des titres représentatifs d'un droit de propriété sur une partie du capitale de l'entreprise émettrice
D. Aucune des propositions n'est vraie
2. Une économie d'endettement est caractérisé par :
A. Un endettement excessif des ménages
B. Des entreprises se finançant principalement auprès des banques
C. Une insuffisance de liquidité sur les marchés
D. Toutes les propositions sont correctes
3. Le taux d'intermédiation au sens strict mesure :
A. La part des financements directs dans le total des financements externes
B. La part des crédits bancaires et des titres achetés par les institution financières dans le total des financements externes 
C. La part des financements intermédiés dans le total des financements internes
D. La part des crédits bancaires dans le total des financements externes
4. Les fonctions principales d'une banque sont :
A. La gestion des moyens de paiement
B. La mise en œuvre de la politique monétaire
C. Le traitement des problèmes d'asymétrie d'information 
D. Aucune des propositions n'est vraie
5. Le marché financier :
A. N'est pas accessible qu'aux entreprises
B. Est le marché de capitaux à long terme
C. Est le marché de la "monnaie centrale"
D. Aucune des propositions n'est vraie
6. Les certificats de dépôt négociables sont :
A. Des titres émis par les banques sur le marché monétaire
B. Des titres émis par des sociétés non financières sur le marché monétaire
C. Des titres émis par les sociétés non financement sur le marché monétaire 
D. Aucune des propositions n'est vraie
7. La règle d'or de Paul A. Samuelson indique que :
A. Le plan d'intérêt réel à long terme doit reste inférieur au taux de croissance du PIB
B. Le taux d'intérêt réel à court terme doit reste inférieur au taux de croissance du PIB
C. Le taux d'intérêt directeur de la banque centrale, nominal ou réel à court terme, doit être fonction de l'écart d'inflation et de l'écart de croissance
D. Le taux d'intérêt réel à long terme doit rester supérieur au taux de croissance du PIB
8. Les opérations d'open-market sont de :
A. Opérations à l'initiative des banques
B. Operations à l'initiative de la banque centrale et des banques
C. Opérations à l'initiative de la banque centrale
D. Aucune des propositions n'est vraie
9. Le taux des avances à 24 heures constitue normalement :
A. Un taux plancher
B. Un taux plafond
C. Un taux de refinancement
D. Aucune des propositions n'est vraie
10. Quand la banque centrale estime que le taux interbancaire tend à s'orienter à la baisse :
A. Elle utilise des avances à 7 jours sur appel d'offres 
B. Elle utilise des reprises de liquidité à 7 jours sur appel d'offres
C. Elle utilise des avances à 24 heures
D. Aucune des propositions n'est vraie
11. La banque centrale souhaite effectuer des reprises de liquidité sur le marché interbancaire, à cette fin :
A. Elle peut accorder des prêts aux banques
B. Elle peut mettre des titres en pension
C. Elle peut procéder à des achats fermes de bons du trésor négociables
D. Aucune des propositions n'est vraie
12. Supposons que le BC décide d'injecter des liquidités par une opération de cession temporaire selon une procédure d'appel d'offre à taux fixe. Elle décide d'allouer 525 millions de euro. Trois contreparties (banques) soumettent leurs offres suivantes :

Examen d'économie monétaire et financière 2 (S2) avec corrigé - économie et gestion

Le montant alloué à la banque A est égale à :

A. 112.5
B. 75
C. 187.5
D. Aucune des propositions n'est vraie

Examen n°2

1. Dans une économie d'endettement :
A. Les taux d'intérêts sont en grande partie des taux d'intérêt d'équilibre
B. L'information est publique produite par les banques 
C. Le financement des entreprises est très fortement articulé sur le crédit bancaire
D. Les instruments de la politique monétaire sont indirects
2. Les titres de créance émis figurent dans : 
A. Le passif du bilan bancaire
B. L'actif du bilan bancaire
C. L'hors bilan bancaire
D. Aucune des propositions n'est vraie
3. La transformation des échéances 
A. Traduit la tendance des banques à intervenir des financements aux agents non financiers
B. Traduit les changements intervenus dans l'organisation du système de crédit marocain à partir de 1993
C. Constitue une réponse des banques à la concurrence des marchés de capitaux
D. Est le fait de collecter les ressources à court terme pour financer des prêts à long terme 
4. Le Ratio Cooke s'exprime de la façon suivante : 
A. La part des fonds propres et quasi fonds propres doit être inférieur ou égale à 8% des emplois pondérés par les risques de crédit et de marché
B. La part des fonds propres et quasi fonds propres doit être supérieur ou égale à 8% des emplois pondérés par les risques de crédit et de marché
C. La part des fonds propres et quasi fonds propres doit être supérieur ou égale à 8% des emplois pondérés par les risques de crédit et de marché et de risque opérationnel
D. Aucune des propositions n'est vraie
5. La relation créancier-débiteur est caractérisé par : 
A. L'existence d'asymétrie d'information ex ante et ex post 
B. La comptabilité des désirs (durée, risque et montant)
C. Une bonne notoriété des débiteurs 
D. La diminution des risques
6. Si le taux au jour le jour (taux JJ) est supérieur au taux directeur (td), dans ce cas :
A. La banque centrale a sous-estimé le besoin de monnaie centrale des banques 
B. La banque centrale a surestimé le besoin de monnaie centrale des banques
C. Les anticipations faites par la banque centrale sur le besoin de monnaie centrale sont parfaitement vérifiées 
D. Aucune des propositions n'est vraie
7. La pension livrée représente : 
A. L'opération des prêts et d'emprunt en blanc
B. L'opération d'achat ou de ventes fermes de titres
C. L'opération d'achat de titres avec la promesse de revente pour le préteur et l'opération de vente de titres avec l'option de rachat pour l'emprunteur
D. L'opération de cession temporaires de titres pour l'emprunteur
8. La liquidité bancaire s'améliorer lorsque :
A. Le taux de préférence pour les billets diminue
B. Les contribuables payent leurs impôts par prélèvement sur leur compte bancaire
C. Les banques enregistrent des entrées de devises inférieurs aux sorties 
D. Les banques achètent des services auprès de la banque centrale
9. Au France les bons de sociétés de financement doivent avoir une échéance :
A. De 10 jours au moins et d'un an au plus 
B. De 2 ans au moins et d 7 ans au plus
C. De 10 jours au moins et de 7 ans au plus 
D. Aucune des propositions n'est vraie
10. Au France, le marché développement est destinée spécialement :
A. Aux grandes entreprises 
B. Aux entreprises de taille moyenne
C. Aux entreprise en forte croissance
D. Aucune des propositions n'est vraie
11. L'obligation à rente perpétuelle est :
A. Une obligation sans échéance. Elle paie uniquement des coupons annuels et ce jusqu'à l'infini
B. Une obligation à coupons zéro
C. Une obligation remboursable en actions
D. Aucune des propositions n'est vraie
12. Le marché secondaire 
A. Est un marché de moindre importance
B. Est un marché d'occasion substituable au marché primaire
C. Est un marché qui concerne les nouvelles émissions de titres
D. A pour objet d'assurer aux préteurs la liquidité de leurs placements
13. Une appréciation du taux de change réel R = P2*e/P1, implique :
A. Une amélioration de la compétitivité de nos produits qui entraine un accroissement des exportations
B. Une augmentation des importations en volume 
C. Une baisse des importations en valeur
D. Une dégradation du solde de la balance commerciale
14. Quand la banque centrale estime que le taux interbancaire tend à s'orienter à la hausse :
A. Elle utilise des avances à 7 jours sur appel d'offres
B. Elle utilise des reprises de liquidité à 7 jours sur appel d'offres
C. Elle utilise des avances à 24 heures
D. Aucune des propositions n'est vraie
15. Actuellement, Bank al-Maghreb a fixé le taux des avances à 24 heures à :
A. 1.5% minoré de 100 points de base 
B. 2.25% majoré de 100 points de base 
C. 1.5% majoré de 100 points de base 
D. 1.25% minoré de 100 points de base
16. La banque centrale impose aux banques de constituer des réserves obligatoires :
A. Pour répondre à des critères de solvabilité
B. Pour réguler leur liquidité 
C. Pour qu'elles disposent d capitaux propres
D. Pour qu'elles puissent fournir des billets à leurs clients

Exercice 1

Supposons que le cours boursier d'une entreprise A est actuellement de P0 = 1000 euro. Les analyses financiers anticipent que cette entreprise versera un dividende de 40 euro dans un an et que ses dividendes croitront ensuite de 6% par an.
17. Selon la formule simplifiée de Gordon-Shapiro, le taux de rentabilité Ke exigé par les investisseurs est égale à :
A. 11%
B. -10%
C. 10%
D. Aucune des propositions n'est vraie

Exercice 2

Le bilan d'une banque se représente la structure suivante : 

Examen d'économie monétaire et financière 2 (S2) avec corrigé - économie et gestion

18. Le taux débiteur moyen est égal :
A. 1.75%
B. 5.725%
C. 4.65%
D. Aucune des propositions n'est vraie
19. La marge de taux d'intérêt de cette banque est égale :
A. -2.9%
B. 2.9%
C. 1.75%
D. Aucune des propositions n'est vraie

On suppose que la clientèle, perdant confiance dans sa banque, retire 50% de ses dépôts, Pour rééquilibrer son bilan, la banque a choisi d'emprunter 25 sur le marché obligataire au taux de 4%.

20. Dans ces conditions, la nouvelle marge de taux d'intérêt est égale à :
A. 2.5%
B. 2.29%
C. 2.15%
D. Aucune des propositions n'est vraie

Examen n°3

1. L a comparaison des taux d'intérêt des différents types de crédits accordés par les banques agréées au Maroc :
A. Permet de déduire une structure par terme des taux d'intérêts 
B. Permet de déduire une structure par risque des taux débiteurs
C. Mène à conclure sur la supériorité du taux créditeur sur le taux débiteur
D. Aucune des ces propositions
2. Un crédit bancaire est un actif financier :
A. Non monétaire, matérialisé par un document négociable
B. Créé lorsqu'un créancier emprunt auprès d'une institution non financière
C. Représentatif d'un droit de créance sur les banques commerciales
D. Quasi-monétaire, émis par les banques qui empruntent sur le marché monétaire

Exercice 1 (Question 3 à 5):
Un crédit immobilier remboursable sur 20 ans et portant sur un montant de 550 000 euro est consenti le 1er mars 2021 au taux débiteur moyen observé au premier trimestre de l'année en cours.
3. Le montant TTC de la mensualité de ce crédit s'élève à :
A. 3839.24 euro
B. 3752.61 euro
C. 3710.83 euro
D. 3695.09 euro
4. Le total à rembourser s'élève à :
A. 3839.24
B. 3752.61
C. 3710.83
D. 3695.09
5. La somme des intérêts dus s'élève à :
A. 192 294,49 euro
B. 263 822,10 euro
C. 290 291,12 euro
D. 310 199.23 euro
E. Aucune de ces propositions 
Exercice 2 (Q6 à Q8):
Un crédit à la consommation portant sur un montant de 45 000 euro est le 1ére janvier 2021. Le taux d'intérêt exigé par la banque est égal au taux débiteur moyen observé au premier trimestre de l'année en cours. Le terme de ce crédit s'étend à 0 mois.
6. La part de l'amortissement du capital dans la première mensualité s'élève à :
A. 2628,93 euro
B. 3168,56 euro
C. 5324,84 euro
D. 7389,05 euro
7. La part des intérêts dans la première mensualité s'élève à :
A. 268,12 euro
B. 244,09 euro
C. 179,81 euro
D. 135,25 euro
8. Le capitale restant du au 9 juin 2021 est égal à :
A. 30 177,86 euro
B. 15 178,56 euro
C. 7 611,82 euro
D.0 euro
E. Aucune des ces propositions
9. La détention des bons de Trésor par les banques commerciales :
A. Obéit à un impératif de liquidité, puisqu'il constituent des actifs financiers monétaire 
B. S'explique par leur utilisation en tant que moyen de gestion de trésorerie et collatéral et opérations de refinancement
C. Permet d'alimenter les réserves bancaires excédentaires non rémunérées
D. S'inscrit dans une logique de prise de puisqu'ils sont relativement risqués
E. Aucune des ces propositions
10. Le dénominateur commun entre les conditions bancaires optimales est :
A. Le taux du marché interbancaire qui constitue le cout marginal de l'activité d'intermédiation financière assurée par les banque commerciales
B. Le taux de marché interbancaire qui constitue le cout total de l'activité d'intermédiation financières assurée par les banques commerciales
C.  Le taux obligatoire, eu égal à son influence sur le taux des bons de Trésor
D. Aucune des ces propositions
E. Aucune des ces propositions
11. Le taux créditeur optimal dépend :
A. Positivement du taux du marché interbancaire et du ratio de la réserve bancaire
B. Négativement du taux de marché interbancaire et du ratio de la réserve bancaire
C. Négativement du taux de marché interbancaire et positivement du ratio de la réserve bancaire
D. Aucune des ces propositions
12. Le taux débiteur optimal dépend :
A. Positivement du taux obligatoire et du taux des bons de Trésor
B. Négativement des conditions bancaires optimales
C. Essentiellement du taux de marché interbancaire, avec une corrélation négative
D. Négativement du taux du marché interbancaire et de la prime de risque
E. Aucune des ces propositions
13. Le taux des avances à 7 jours :
A. Constitue le taux directeur de la banque centrale
B. Est l'axe centrale du corridor dans lequel évolue le taux de marché interbancaire
C. Est la moyenne arithmétique des taux des facilités permanentes
D. Les réponses A et B
E. Les réponses A, B et C 
14. Les facilités permanentes permettent à la banque centrale :
A. D'influencer les négociations entre les banques qui échangent la liquidité au jours le jours
B. D'influencer les décisions des banques en matière de constitution des réserves obligatoires
C. D'injecter les liquidités sous forme d'avances à 24H
D. Reprendre les liquidités sous forme d'avances à 24H
E. Aucune des ces propositions
15. Le canal du bilan, en tant que canal de transmission de la politique monétaire, passe à travers :
A. La valeur du patrimoine des ménages et en traduit par un effet de richesse sur les dépenses de consommation
B. Le taux débiteur et se traduit par un effet de substitution intertemporelle entre l'épargne et la consommation
C. Le taux créditeur et donne lieu à effet de richesse sur l'investissement, conjugué à un effet d'arbitrage sur la consommation
D. Le cout d'opportunité des dépenses d'investissement, en l'occurrence la prime de risque inhérente aux taux débiteurs
E. Aucune des ces propositions
16. Actuellement, le taux d'intérêt des dépôts à 24H est fixé par Bank Al-Maghrib à :
A. 0,5%
B. 1%
C. 1,5%
D. 2%
E. Aucune des ces propositions

Corrigé d'examens

Nb : la réponse correct il est en couleur vert.

Examen n°1

1. Les actions sont :
A. Des valeurs mobilières représentant une créance envers l'organisme émetteur
B. Des titres représentatifs d'une créance envers l'entreprise émettrice
C. Des titres représentatifs d'un droit de propriété sur une partie du capitale de l'entreprise émettrice

D. Aucune des propositions n'est vraie
2. Une économie d'endettement est caractérisé par :
A. Un endettement excessif des ménages
B. Des entreprises se finançant principalement auprès des banques
C. Une insuffisance de liquidité sur les marchés
D. Toutes les propositions sont correctes
3. Le taux d'intermédiation au sens strict mesure :
A. La part des financements directs dans le total des financements externes
B. La part des crédits bancaires et des titres achetés par les institution financières dans le total des financements externes 
C. La part des financements intermédiés dans le total des financements internes
D. La part des crédits bancaires dans le total des financements externes
4. Les fonctions principales d'une banque sont :
A. La gestion des moyens de paiement

B. La mise en œuvre de la politique monétaire
C. Le traitement des problèmes d'asymétrie d'information 
D. Aucune des propositions n'est vraie
5. Le marché financier :
A. N'est pas accessible qu'aux entreprises
B. Est le marché de capitaux à long terme
C. Est le marché de la "monnaie centrale"
D. Aucune des propositions n'est vraie
6. Les certificats de dépôt négociables sont :
A. Des titres émis par les banques sur le marché monétaire

B. Des titres émis par des sociétés non financières sur le marché monétaire
C. Des titres émis par les sociétés non financement sur le marché monétaire 
D. Aucune des propositions n'est vraie
7. La règle d'or de Paul A. Samuelson indique que :
A. Le plan d'intérêt réel à long terme doit reste inférieur au taux de croissance du PIB

B. Le taux d'intérêt réel à court terme doit reste inférieur au taux de croissance du PIB
C. Le taux d'intérêt directeur de la banque centrale, nominal ou réel à court terme, doit être fonction de l'écart d'inflation et de l'écart de croissance
D. Le taux d'intérêt réel à long terme doit rester supérieur au taux de croissance du PIB
8. Les opérations d'open-market sont de :
A. Opérations à l'initiative des banques
B. Operations à l'initiative de la banque centrale et des banques
C. Opérations à l'initiative de la banque centrale
D. Aucune des propositions n'est vraie
9. Le taux des avances à 24 heures constitue normalement :
A. Un taux plancher
B. Un taux plafond
C. Un taux de refinancement
D. Aucune des propositions n'est vraie
10. Quand la banque centrale estime que le taux interbancaire tend à s'orienter à la baisse :
A. Elle utilise des avances à 7 jours sur appel d'offres 
B. Elle utilise des reprises de liquidité à 7 jours sur appel d'offres
C. Elle utilise des avances à 24 heures
D. Aucune des propositions n'est vraie
11. La banque centrale souhaite effectuer des reprises de liquidité sur le marché interbancaire, à cette fin :
A. Elle peut accorder des prêts aux banques
B. Elle peut mettre des titres en pension
C. Elle peut procéder à des achats fermes de bons du trésor négociables
D. Aucune des propositions n'est vraie
12. Le montant alloué à la banque A est égale à :
A. 112.5
B. 75
C. 187.5
D. Aucune des propositions n'est vraie

Examen n°2

1. Dans une économie d'endettement :
A. Les taux d'intérêts sont en grande partie des taux d'intérêt d'équilibre
B. L'information est publique produite par les banques 
C. Le financement des entreprises est très fortement articulé sur le crédit bancaire
D. Les instruments de la politique monétaire sont indirects
2. Les titres de créance émis figurent dans : 
A. Le passif du bilan bancaire
B. L'actif du bilan bancaire
C. L'hors bilan bancaire
D. Aucune des propositions n'est vraie
3. La transformation des échéances 
A. Traduit la tendance des banques à intervenir des financements aux agents non financiers
B. Traduit les changements intervenus dans l'organisation du système de crédit marocain à partir de 1993
C. Constitue une réponse des banques à la concurrence des marchés de capitaux
D. Est le fait de collecter les ressources à court terme pour financer des prêts à long terme 
4. Le Ratio Cooke s'exprime de la façon suivante : 
A. La part des fonds propres et quasi fonds propres doit être inférieur ou égale à 8% des emplois pondérés par les risques de crédit et de marché
B. La part des fonds propres et quasi fonds propres doit être supérieur ou égale à 8% des emplois pondérés par les risques de crédit et de marché
C. La part des fonds propres et quasi fonds propres doit être supérieur ou égale à 8% des emplois pondérés par les risques de crédit et de marché et de risque opérationnel
D. Aucune des propositions n'est vraie
5. La relation créancier-débiteur est caractérisé par : 
A. L'existence d'asymétrie d'information ex ante et ex post 
B. La comptabilité des désirs (durée, risque et montant)
C. Une bonne notoriété des débiteurs 
D. La diminution des risques
6. Si le taux au jour le jour (taux JJ) est supérieur au taux directeur (td), dans ce cas :
A. La banque centrale a sous-estimé le besoin de monnaie centrale des banques 
B. La banque centrale a surestimé le besoin de monnaie centrale des banques
C. Les anticipations faites par la banque centrale sur le besoin de monnaie centrale sont parfaitement vérifiées 
D. Aucune des propositions n'est vraie
7. La pension livrée représente : 
A. L'opération des prêts et d'emprunt en blanc
B. L'opération d'achat ou de ventes fermes de titres
C. L'opération d'achat de titres avec la promesse de revente pour le préteur et l'opération de vente de titres avec l'option de rachat pour l'emprunteur
D. L'opération de cession temporaires de titres pour l'emprunteur
8. La liquidité bancaire s'améliorer lorsque :
A. Le taux de préférence pour les billets diminue
B. Les contribuables payent leurs impôts par prélèvement sur leur compte bancaire
C. Les banques enregistrent des entrées de devises inférieurs aux sorties 
D. Les banques achètent des services auprès de la banque centrale
9. Au Maroc les bons de sociétés de financement doivent avoir une échéance :
A. De 10 jours au moins et d'un an au plus 
B. De 2 ans au moins et d 7 ans au plus
C. De 10 jours au moins et de 7 ans au plus 
D. Aucune des propositions n'est vraie
10. Au Maroc, le marché développement est destinée spécialement :
A. Aux grandes entreprises 
B. Aux entreprises de taille moyenne
C. Aux entreprise en forte croissance
D. Aucune des propositions n'est vraie
11. L'obligation à rente perpétuelle est :
A. Une obligation sans échéance. Elle paie uniquement des coupons annuels et ce jusqu'à l'infini
B. Une obligation à coupons zéro
C. Une obligation remboursable en actions
D. Aucune des propositions n'est vraie
12. Le marché secondaire 
A. Est un marché de moindre importance
B. Est un marché d'occasion substituable au marché primaire
C. Est un marché qui concerne les nouvelles émissions de titres
D. A pour objet d'assurer aux préteurs la liquidité de leurs placements
13. Une appréciation du taux de change réel R = P2*e/P1, implique :
A. Une amélioration de la compétitivité de nos produits qui entraine un accroissement des exportations
B. Une augmentation des importations en volume 
C. Une baisse des importations en valeur
D. Une dégradation du solde de la balance commerciale
14. Quand la banque centrale estime que le taux interbancaire tend à s'orienter à la hausse :
A. Elle utilise des avances à 7 jours sur appel d'offres
B. Elle utilise des reprises de liquidité à 7 jours sur appel d'offres
C. Elle utilise des avances à 24 heures
D. Aucune des propositions n'est vraie
15. Actuellement, Bank al-Maghreb a fixé le taux des avances à 24 heures à :
A. 1.5% minoré de 100 points de base 
B. 2.25% majoré de 100 points de base 
C. 1.5% majoré de 100 points de base 
D. 1.25% minoré de 100 points de base
16. La banque centrale impose aux banques de constituer des réserves obligatoires :
A. Pour répondre à des critères de solvabilité
B. Pour réguler leur liquidité 
C. Pour qu'elles disposent d capitaux propres
D. Pour qu'elles puissent fournir des billets à leurs clients
17. Selon la formule simplifiée de Gordon-Shapiro, le taux de rentabilité Ke exigé par les investisseurs est égale à :
A. 11%
B. -10%
C. 10%
D. Aucune des propositions n'est vraie
18. Le taux débiteur moyen est égal :
A. 1.75%
B. 5.725%
C. 4.65%
D. Aucune des propositions n'est vraie
19. La marge de taux d'intérêt de cette banque est égale :
A. -2.9%
B. 2.9%
C. 1.75%
D. Aucune des propositions n'est vraie
20. Dans ces conditions, la nouvelle marge de taux d'intérêt est égale à :
A. 2.5%
B. 2.29%
C. 2.15%
D. Aucune des propositions n'est vraie

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